Le réseau français compte à l’actuel plus de 90 membres, toutes organisations de la société civile actives dans le domaine du dialogue interculturel en Euro-Méditerranée.
Le réseau a été initié par la Fondation René Seydoux avec le soutien de Thierry Fabre, et a été par la suite coordonné par ADCEI et le Forum Femmes Méditerranée. Les membres ont élu en juin 2021 deux nouveaux chefs de file : ALDA et Les Têtes de l’Art, deux associations d’envergure euro-Méditerranéenne, dont le but est de continuer à partager des opportunités de développement, d’activités, de formation, rencontres internationales et artistiques pour encourager le dialogue interculturel.
Le réseau national en France constitue un groupement d’associations réellement transdisciplinaires dans leur domaines respectifs d'expertise. Des relations interculturelles, en passant par les enjeux de la jeunesse, de l’art et du développement durable : ce n'est pas seulement une addition de différentes compétences que représente le réseau mais surtout les points où celles-ci se rencontrent afin de créer des objectifs communs. De plus, le réseau est implanté dans différentes zones du territoire français, tant dans les grands centres que représentants les zones parisiennes et marseillaises que dans d’autres petites et moyennes villes, ce qui constitue un réel atout. Le dynamisme, l’ambition et la polyvalence de ses membres en font un réel catalyseur de synergies. L'implantation de chacune des associations à leur niveau local permet de promouvoir les activités et objectifs de la fondation Anna Lindh sur le terrain.
29, rue Toussaint13003 Marseille
13003 Marseille
France
Maison des Associations, 1A place des Orphelins
67000 Strasbourg
France
Le réseau français existe depuis la création de la FAL. Il a été dirigé par la Fondation René SEYDOUX avec le soutien de Thierry Fabre. Puis ADCEI a été élue chef de file, ensuite le Forum Femmes Méditerranée depuis 2012. Il a accueilli à Marseille le 2ème Forum de la FAL en 2013
Comme dans les autres pays, il y a d’un côté des racistes, et des antisémites qui refusent le dialogue interculturel, l’accueil des réfugiés et qui prône l’identité nationale. Ils sont minoritaires mais ils pèsent sur le débat. D’un autre côté, il y a des dizaines de millions de jeunes et de femmes qui veulent créer des territoires communs d’appartenance, des espaces de conversation citoyenne, des convergences dans la résistance et la découverte des autres cultures.